Ton palais c"est trois bouts de tôles
Deux planches de bois
Un paradis de bidonvilles
Qui s'appelle Favela
Sur les bidons, on peut aussi
Faire de la musique
Et refaire l'Amérique
Fio Maravilha, ton père, c'était le soleil (chi-chi-chi-chi-chi-chi)
Fio Maravilha, musique et toi, c'est pareil (chi-chi-chi-chi-chi-chi)
Fio Maravilha, bidou, bidou, piboubou (chi-chi-chi-chi-chi-chi)
Fio Maravilha, bibi-boubou-bi-boudou (chi-chi-chi-chi-chi-chi)
Du ciel et la terre
C'est la conspiration
Ton père a dû un pays
Qui soit l'enfant des chansons
De ses cheveux
On a fait trois cordes de guitare
Aux harmonies un peu bizarres
Fio Maravilha, ton père, c'était le soleil (chi-chi-chi-chi-chi-chi)
Fio Maravilha, musique et toi, c'est pareil (chi-chi-chi-chi-chi-chi)
Fio Maravilha, ton père, c'était le soleil (chi-chi-chi-chi-chi-chi)
Fio Maravilha, musique et toi, c'est pareil (chi-chi-chi-chi-chi-chi)
Fio Maravilha, bidou, bidou, piboubou (chi-chi-chi-chi-chi-chi)
Fio Maravilha, bibi-boubou-bi-boudou (chi-chi-chi-chi-chi-chi)
Et ta mère, c'est la terre
Ces paroles de la chanson évoquent la vie dans les favelas, les quartiers pauvres et informels du Brésil, à travers le personnage de Fio Maravilha, qui est probablement une figure fictive ou une référence à une personne réelle. Voici une analyse détaillée :
En résumé, ces paroles célèbrent la vie et la culture des favelas, mettant en avant le rôle central de la musique et rendant hommage à des figures comme Fio Maravilha, qui incarnent la résilience et la créativité des habitants de ces quartiers marginalisés.